Voici ce qui fut le plus long et le plus grand des défis dans lequel que je me suis lancé.
En 2017 j’apprenais l’existence des CMS sans base de données et je trouvais cela incroyable que des développeurs puissent proposer des systèmes aussi simples et ouverts à tous avec aussi peu de contraintes.
Mais en explorant l’univers de ces CMS, de nombreux détails me perturbent :
Mais surtout des architectures incompréhensibles et monolithiques ou accro aux dépendances.
J’ai déployé un site il y a 2 semaines, qui fait 118Mo pour une page.
118Mo pour une page, je rappelle que c’est un jeu de PlayStation*.
Donc on déploie un jeu de PlayStation* ? 10 fois par jours ?
– Jean-François Lépine – Forum PHP 2017
*En parlant de la taille des jeux de PlayStation 1
Du coup je me suis dit que je pouvais aussi proposer ma vision de ce qui pourrait être un CMS.
La vision d’un projet qui se base sur le principe du KISS, répondant aux véritables besoins des utilisateurs, mais avec une approche plus professionnelle du développement.
Un an après la publication de la première version alpha, l’écosystème de Soosyze s’est affiné et a fait des choix assumés dans les technologies et outils utilisés, sa réalisation, présentation.
Ça ne sert à rien de réinventer la roue.
– Un enseignant en informatique
Il existe de nombreux frameworks et bibliothèques qui partagent les mêmes valeurs que Soosyze, cependant à force d’utiliser le travail des autres, on oublie comment faire le nôtre.
Et le développement d’un framework s’est avéré un excellent terrain d’apprentissage.
